Alan Wake 2
Avant de faire une review, j’ai rejoué à Alan Wake (Remastered) et Control (Ultimate Edition), les deux jeux précédent du studio finlandais Remedy.
En cherchant un peu plus vous pouvez trouver aussi le let’s play d’Alan Wake 2.
Pour en revenir à mon avis, j’ai adoré le jeu malgré ces grosses failles. La narration est, comme pour Control, le gros point fort du jeu.
On retrouve Alan Wake (en moins arrogant et avec plus d’empathie que dans le 1), auteur perdu dans les limbes de l’Antre Noir et on découvre Saga Anderson, agent du FBI qui part à sa recherche à Cauldron Lake.
Les deux personnages vont se croiser, leurs histoires respectives se croisant lors des moments clés, souvent à l’issue des combats de Boss.
Si l’exploration de l’univers est un des éléments plaisants, j’ai eu du mal à avec les combats de Boss. Nos deux héros sont plus lents que les charges, les téléportations et les attaques des antagonistes.
La façon dont l’histoire est racontée, en mélangeant les techniques, en demandant des efforts de productions et d’inventivité assez inédits. Les séquences filmées superposées ou incrustées apportant un plus.
J’ai été happé par cette boucle, cette spirale et je souhaite à toutes les personnes qui aiment le style horrifique / enquête (et qui peuvent y jouer, car le jeu est assez exigent sur PC et console).
Mais je me suis pris au jeu d’incarner le croisement entre l’agent Fox Mulder et Dale Cooper et de me perdre avec une projection de Stephen King dans son esprit cauchemardesque.