Winter Break
Alexander Payne est un cinéaste qui met au coeur de ces récits des personnages bien écrits, allant au delà des clichés initiaux et qui donne toujours beaucoup d’empathie.
On commence dans ce Lycée Americain dans les années 1970 où tout le monde part en vacances. Reste le professeur le plus atypique et des élèves dont les parents semblent ne pas se soucier de leur progénitures.
A partir de là, on a une confrontation des générations, où les rêves et les désillusions se heurtent aux peurs et aux regrets.
C’est brillamment écrit, formidablement bien interprété. La mise en scène est simple, la mise en image est travaillée (avec un grain de pellicule qui donne à lui seul le contexte « Kodak » des années 1970).