Mission Impossible : Dead Reckoning Part 1
On continue avec les suites et les séries de films qui se terminent. Après Indiana Jones, voici la première partie du dernier épisode des « Mission Impossible » avec Tom Cruise (Oui, c’est compliqué).
Mon plus gros reproche étant que l’on reste très loin de la série, où la tension est maintenue par des plans millimétrés et malins qui font croire que nos héros sont en situation d’échec alors que c’est prévu dans le plan.
Donc Etan Hunt reprend du service et comme tous les épisodes depuis le 4, il a un problème avec sa hiérarchie et décide de réunir son équipe pour faire cavaliers seuls contre une IA omnipotente.
Je suis moins clément que certains sites ou certaines personnes sur l’ensemble de la qualité des films précédents.
- Le 1 a très mal vieilli,
- Le 2 n’a jamais été un bon film,
- Le 3 est le premier pas cinéma pour J.J. Abrams,
- L’épisode 4 de Brad Bird a introduit le personnage de Simon Pegg et c’est cool,
- Le 5 (premier de Christopher MacQuarrie) possède un scénario nul (la base de données biométriques dans une machine à laver avec des lasers, on dirait un truc d’Austin Powers)
- et le 6 a été une bonne surprise, avec un Henri Cavill qui a la classe avec sa moustache.
Le scénario n’est pas sa grande qualité et j’ai beaucoup à dire notamment à partir de la fin du passage à Venise, mais je ne veux pas trop en dire ici. Il y a beaucoup de moment où « la chance » (où les scénariste un peu paresseux) aide notre héros. Si Tom Cruise réussit : c’est parce qu’il atterrit toujours au bon moment. Si un membre de son équipe échoue, c’est souvent
Après, le casting est toujours très sympa (Rebecca Fergusson et Alley Hatwell principalement), certaines scènes valent le coup d’investir dans un ticket de cinéma (sans atteindre celles de John Wick 4, la course poursuite en Italie est assez cool).
Enfin, si dans Fallout (le 5), on aimait bien voir Tom Cruise faire son footing sur les toits et les rues de Paris, vous serez contents de savoir qu’il court aussi très vite sur d’autres toits et d’autres rues (à multiples reprises), c’est presque un « running gag » (ah ah ah…).
Ca reste une première partie et les enjeux seront plus présents dans la seconde.