Indiana Jones et le Cadran de la Destinée
Comme beaucoup de gens, j’ai été très déçu par l’épisode 4 où le scénario était aussi fragile qu’un crâne de cristal.
Aussi, à l’annonce d’un projet de suite, avec
- un Harrison Ford, toujours aussi sympathique, mais beaucoup moins en forme qu’un quarantenaire baroudeur, étant âgé de 80 ans
- l’absence de Spielberg à la réalisation; même si sur ce point, j’étais content de voir James Mangold, réalisateur de Le Mans 66 (Ford vs Ferrari en anglais)
- Un artéfact moins presitigieux et mystique que le Graal.
A la fin de la séance, on espère voir une page se tourner. Non pas que le film est honteux et qu’il se tient mieux que l’épisode 4, mais que je ne vois pas notre octogénaire rempiler ni passer le flambeau à un acteur plus jeune.
J’ai beaucoup aimé la dynamique du film et je trouve le personnage de Phoebe Walter Bridge assez intéressant. J’ai un peu de mal avec la toute fin
On retrouve des Nazis, dont le grand antagoniste campé par un Mads Mickelsen toujours impeccable (même si toujours sous utilisé par les productions Disney). Ca me conforte dans ma théorie que les bons épisodes d’Indiana Jones sont toujours ceux où il botte des culs aux potes d’Adolphe.