Empire of Light
Sam Mendes avait réalisé beaucoup de films dans des genres très différents. Après les avant-derniers James Bond et 1917, le réalisateur décide de rendre hommage à sa mère.
Comme beaucoup de films que j’ai vus en ce début d’année, c’est un film dont l’image et le côté émotionnel sont intimement liés.
J’ai passé un bon moment à suivre le parcours du personnage d’Olivia Colman, une femme qui est seule. On découvre aussi les petites villes balnéaires de l’Angleterre. L’ambiance visuelle du lieu m’a fait pensé à Saint Maud sans la dimension fantastique.
Ca parle de cinéma et de dépression : ce n’est pas un film à aller voir si vous avez le moral dans les chaussettes.
Mais l’histoire et l’hommage racontée par le réalisateur dégage une certaine douceur.