John Wick
Keanu n’est pas content.
- On a tué le chien de Keanu
- On a piqué la bagnole de Keanu
Et comme on n’a pas des réalisateurs de comédies romantiques derrière la caméra mais des anciens cascadeurs de Matrix, on sait que ce point de départ ne va pas se terminer gentiment.
Parce que Keanu, c’est un tueur qui s’est rangé des voitures. Un tueur qui fait peur à la mafia russe. Parce que le big boss avec un accent, il n’est pas fou : il sait que Neo est l’élu… euh…. que Keanu est John Wick.
Une fois les armes retrouvées sous la chape de ciment du garage, Johnny part faire une Vendetta.
Alors
- Oui, le point de départ est très simple
- Oui, les dialogues sont minimalistes
Mais ce film réussit à faire d’incroyables prouesses en termes de mise en scène, d’action, de sound design, de cascades.
C’est assez grisant de voir Keanu Reeves toujours aussi impliqué, investi dans les scènes d’action mais aussi fragile et attachant dans les moments plus intimistes.
Le film est devenu, pour moi, (sur le tard, j’avoue) une référence dans le film d’action US.