John Wick 2
Après un John Wick 1 qui posait les bases et créait un univers particulier (la scène avec l’hôtel continental laissait entendre une « confrérie » des tueurs et des règles d’un univers plus étendu).
On repart sur les fondations du premier et on étend un peu plus, créant ainsi de nouveaux mystères.
Mais c’est aussi l’occasion de mettre « les potards à 11 » et de faire « encore plus ».
Si la scène de la discothèque du 1 était un tour de force, la scène dans les pièces remplies de miroirs est juste incroyable.
Comme je le disais, cette suite permet d’étendre et de créer un monde, des règles autour d’un scénario simple. On est, comme dans Matrix, face à un univers qui pourrait être un « comics » à la Sin City, sans les obsessions déviantes de Miller.
On retrouve aussi, pour le clin d’oeil, Morpheus aka Lawrence Fishburne. Ca fait vraiment plaisir de retrouver ce duo et on sent rapidement l’alchimie entre ces deux personnages.
Le 2 poursuit donc brillamment son chemin, dans la lignée du premier et ne déçoit pas.