Gone Girl
Je n’avais rien vu de Gone Girl. J’arrive enfin à slalomer entre les plans média, les bandes annonces au cinéma et les articles sur le net.
Fincher est le cinéaste des changements de pouvoir. C’est le thème récurrent : Social Network, Zodiac, Seven, Fight Club, Panic Room même son plus mal aimé de sa filmographie (Alien 3) montrent des personnages qui ne respectent pas l’ordre établi par les convenances et la société actuelle.
On est toujours surpris par cette histoire maligne autour du couple et de la relation homme-femme.
On remet aussi en question les apparences, la façon dont la société joue avec elles et comment nos jugements, parfois trop simplistes, résume le monde binaire des gentils et des méchants.
Même si j’attends toujours un film de David Fincher, je ne m’attendais pas à un film de cette qualité. Le film passe aussi par plusieurs genres (en 2h30, heureusement qu’il n’est pas monocorde).
Ben Affleck et Rosamund Pike jouent avec nos émotions.
En fait, je ne sais pas quoi écrire sur Gone Girl.
J’aimerai vous parler de la qualité du scénario, du jeu des acteurs, de la mise en scène et des belles images.
J’aimerai vous donner un aperçu de ce que l’on ressent durant le film.
Mais je veux avant tout vous laisser de le découvrir.