Real
Après Shokuzai, on retombe un peu sur les thèmes de Kiyoshi Kurosawa : l’enfance en dehors de Tokyo, les secrets, la culpabilité, la difficulté de la communication.
Le scénario est un mix entre Inception, les jeux Silent Hill et Shokuzai.
Comme dans tous les films de ce réalisateur, la lumière et les ombres sont très travaillées, les acteurs crédibles.
En revanche, toujours comme dans Shokuzai, la fin du film se perd dans les rebondissements et s’étale un peu.
Mais l’ambiance onirique fait oublier ces défauts. Le symbolisme prend le pas sur l’histoire principale et c’est ce que j’aime dans les films asiatiques.