Albator, corsaire de l’espace
C’est donc avec un grand élan de nostalgie que je suis allé voir Albator.
On retrouve ce mélange de piraterie et de vaisseaux spatiaux. On y trouve un côté sombre et triste de la série initiale.
Mais dans la deuxième partie du film, on a un discours un peu étrange sur l’acceptation du deuil et sur la transmission du savoir
Le film se termine avec un enchevêtrement d’idées qui n’ont peut être pas leur place ici.
J’ai été surpris par le côté « cinématique de jeu vidéo » du film. Le design des personnages est très beau, celui des vaisseaux également, mais l’animation pêche un peu.
Que reste-t-il de mon héros d’enfance. Il a bien grandit, comme moi. Mais il n’assume pas d’aller jusqu’au bout de son idée : le passage de flambeau à la nouvelle génération.