Le Livre sans nom
Je crois qu’il n’y a pas plus cliché que de parler de ce livre en pensant à Tarantino, Rodriguez et à leur film « une Nuit en enfer ».
Une ville proche du nouveau Mexique, des flics, des agents fédéraux, des moines, des pouvoirs mystiques et des monstres issus des enfers, le cadre idéal et les meilleurs protagonsites pour un roman paranormal, violent et barré.
Quoi de plus naturel que tous ces ingrédients. Pourtant, au delà de tous les clichés, les références aux livres, séries, films de genre, le livre possède une dynamique assez propre. La construction narrative est assez proche de la série télé et la fin du bouquin est une succession de cliffhangers et de twists que n’aurait pas reniée les scénaristes d’Alias/Lost/Buffy.
Comme souvent, on sent venir le gros retournement de situation final et l’écriture si elle est agréable est très simple… Efficace, on va dire… La VO doit valoir peut être son pesant de pecetas.
Le malheur, c’est que le bouquin n’est pas unitaire et quatre autres volumes permettent vraiment de conclure les péripéties se déroulant à Santa Mondega.
A voir avec la suite mais pas dans l’immédiat. D’autres livres m’attendent.