Rubber
Un pneu psychopathe ? Une mise en abime ? L’apologie du No Reason ?
Je crois que sans la dose d’humour ni le 128ème degré, tous ces hommages au cinéma de genre (film de possession, de serial killer) pourraient passer du potache à l’indigeste.
Mais le film réussit le pari à rendre crédible cet histoire de Pneu qui ne réinvente pas la roue.