Mammuth
Je crois qu’il faut vraiment détaché Groland et Gustave Kervern/Benoît Delépine.
Si l’un est une émission satyrique au ton sympathique, la démarche des deux auteurs est loin (voire assez loin).
L’ouverture commence par un tableau alors que l’on voit défiler le décor à moto.
Depardieu y joue à contre emploi, comme les 3/4 du Casting. Si le début assez social, sur la retraite et la vie en petit bout.
Cette dernière prend de l’importance sur la fin et, même si elle reste assez tordue voire incompréhensible, donne pourtant l’idée de départ du film :
La vie ce sont des petits moments mis bout à bout que l’on soit très con ou très bon…