Diary of the Dead
Après un Land of the dead catastrophique, ce Diary of the dead succombe au « Documenteur » (Cloverfield, REC).
Roméro pour le coup reprend du poil de la bête car en plus de faire peur de nouveau, il refait réflechir.
Avec une mise en abime très bien faite et une critique de la surmédiatisation et de la diffusion instantané de l’information.
Plus calme aussi au niveau de la caméra, ce film rassure là où de nombreuses suite ont déçu.
Mais la faible diffusion en France et même sur Paris des films de genre, ce n’est pas évident de se faire une bonne idée.