Angel-A
Un Besson en petite forme qui veut aider Jamel à sortir un peu de son image.
Je pense que Jamel est un bon acteur, mais pour se faire bien remarquer, il faut faire des bons films.
Besson, lui, est supposé s’arrêter à ce dixième film. Si c’est le cas, qu’est-il arrivé de son ambition et de ses modèles ?
Passe pour le parti pris artistique (noir et blanc) dans un Paris de carte postale.
Mais là où Amélie Poulain et les Ailes du désirs réussissent à nous faire ressentir des émotions, le film s’enferme dans les clichés.
Et l’on s’ennuie devant le peu d’enjeux et le peu d’histoire.
Un double gâchis.