Dead Zone
Cronenberg, dans un de ses premiers films, en tout cas avec des fonds US.
Stephen King pour le point de départ, on s’attend à du surnaturel, Cronenberg nous fait de l’ultra normal.
Et ce contre pied fonctionne.
Pas de stroboscope, pas de plan de folie, c’est simple. Il n’y a que la lumière et les tapisseries (oui, oui) que l’on a faire à un fou (ou un génie) derrière la caméra. On se dit que le film est une commande mais il nous tient en haleine par les acteurs.
Walken, torturé, avec sont visage si tourmenté reste de bout en bout crédible, Martin Sheen fera un bon président 😉 .
Pour parfaire ma culture, pour voir ce que donne Cronenberg + King.