Le Couperet
Costa-Gavras remue les choses qui dérangent, parce que ça fait parti de la vie.
De nos jours dans notre société « vivre égal travailler » est une équation que ne peut résoudre José : il faut qu’il tue les futurs prétendants au futur poste qu’il va occuper (puisque dans son plan, le type qui a son poste va disparaître).
Entre les panneaux publicitaires en arrière plan, entre les dialogues, monologues de José Garcia, entre la peinture à la fois réelle et outrancière de notre monde tel qu’il est aujourd’hui, la vision de Costa-Gavras est malheureusement trop juste…
« La fin justifie telle les moyens ? »
« tant que la police fait son boulot » (sic)