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Un film déroutant.
Voix off qui recolle un film puzzle au début, un rumixkube mental avec Wong Kar Wai commence… Aie aie, vais je faire comme le mecs insupportables devant moi et abandonner la projection.
Loin du film futuriste, loin du film passéiste, juste intemporelle, on commence à suivre Tony Leung en auteur de roman porno et de SF dans les années 60.
On comprends mieux alors les scènes du début, encore des histoires d’amour montées à l’envers, très tendance depuis 5×2 et Eternal Sunshine.
Une chronologie déstructurée à l’image d’un Tarentino fou ne nous donnant aucune piste.
Les Rita Mitsuko en guise de scénario (Les histoire d’A…) WKW montre que l’homme et la femme sont des créatures asynchrones qui n’aiment avec un temps de décalage, trop tôt ou trop tard…
Triste, réaliste…